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Actualité

Deux livres parus récemment font mention de l’islam conquérant dans leur titre. Mais le christianisme lui-même n’a-t-il pas été conquérant et ne l’est-il pas resté jusqu’à nos jours ? Etienne Bovey, auteur de cet article, fait le point sur la question.
Lors de la tuerie de Christchurch, Brenton Tarrant s’est-il pris pour un cavalier de l’Apocalypse en assassinant une cinquantaine de musulmans à l’heure de la prière ?
Depuis plus d’une décennie, des voix s’élèvent pour nous dire que les violences commises au nom de l’islam n'ont rien à voir avec l'islam.
Les musulmans doivent-ils islamiser l'Occident pour pouvoir y vivre? Réussiront-ils à conserver leur foi et leur "identité islamique"? Ou seront-ils inexorablement pris dans un dangereux processus de dissolution de leur identité et, à terme, de leur foi?
Le 12 septembre 2006, le pape Benoît XVI donne à l’Université de Ratisbonne un discours dans lequel il s’intéresse au rapport entre foi et raison. Son but est d’interpeler une Europe déchristianisée à qui il veut rappeler que sa civilisation est le fruit d’un mariage heureux entre Jérusalem et Athènes.
Je me souviens très bien de l’une de mes premières conversations avec un musulman. Il m’a dit: « L’Église a caché l’ « Évangile de Barnabé »! Jusqu’au concile de Nicée en l’an 325 après. J.-C, il faisait partie de l’Injil (Nouveau Testament), mais ensuite, l’Église l’a supprimé.
Peut-on être arabe et chrétien? Paul d'Antioche, évêque de Saïda, a répondu à cette question il y a plus de 800 ans.  A l'heure où les événements tragiques qui frappent leurs pays forcent les chrétiens d'Orient à choisir entre se convertir à l'islam et abandonner leurs biens et fuir[1], ce texte, que nous présentons ci-après, est d'une brûlante actualité.